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Sensibilité au risque (partie 2)

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Sensibilité au risque (partie 2)

Sensibilité au risque (partie 2)

Ce message constitue la deuxième partie d’une série de trois sur la manière dont les humains perçoivent et gèrent les risques. La sensibilité au risque est un produit du cerveau émotionnel, également appelé cerveau des mammifères. Cette zone régule notre relation avec les objets ou les personnes dans notre environnement immédiat. Dans ce domaine, le noyau amygdalien fournit une excitation émotionnelle qui peut avoir une charge positive (amour) ou négative (peur). Si elles sont correctement programmées, ces noyaux nous éloignent du danger et jouent ainsi un rôle important dans notre gestion personnelle de la sécurité.

Innée

Nos lointains ancêtres ont vécu longtemps dans un monde où les principaux dangers étaient stables. La reconnaissance et l’anticipation de ces dangers ont donc pu être programmées dans l’ADN humain. Cela a conduit à ce que le noyau amygdalien chez presque toutes les personnes à travers le monde soit sensible à des dangers tels que la hauteur, le feu, les conditions météorologiques extrêmes, les serpents et les insectes. La peur de la solitude en fait également partie. Cette peur nous incite à vivre ensemble, ce qui contribue à la survie de l’espèce humaine.

Acquise

Si le monde n’avait pas subi de grands changements, comme l’impact de la révolution industrielle, ce système inné aurait été suffisant. Cependant, la société moderne connaît de nombreux nouveaux dangers, et ceux-ci sont également beaucoup plus puissants qu’auparavant. Notre système de danger n’est pas adapté à cela. Heureusement, le noyau amygdalien peut apprendre à connaître de nouveaux dangers et les stocker dans un « archive de dangers ». Une tâche cruciale de la gestion de la sécurité actuelle est donc de remplir cet archive avec les dangers associés au travail dans un certain environnement ou à l’exécution d’une certaine tâche.

Objet – peur – emplacement

L’archive de dangers conserve toujours trois types de données. Cette conservation consiste à établir littéralement des connexions physiques entre trois cellules cérébrales aux fonctions différentes. La première cellule cérébrale représente l’objet. Elle est liée à une cellule de peur du noyau amygdalien et à une cellule d’emplacement de l’hippocampe adjacent. Cette dernière cellule cérébrale enregistre où se trouve le danger. La conséquence de cette connexion est que la programmation et l’activation de la réaction de peur se produisent plus facilement sur place. C’est la principale raison pour laquelle une évaluation des risques de dernière minute (LMRA) est préférable là où le travail est effectué. L’impact de la LMRA sur le cerveau est alors le plus grand.

Éducation aux risques

Étant donné que la sensibilité au risque est une activité du cerveau émotionnel, les processus d’apprentissage qui y sont associés se déroulent également via le canal émotionnel. Sentir est plus important que comprendre pour cette forme de conscience du danger. Le plus puissant est quand on est formé par quelqu’un qui est déjà sensible à un certain risque. La peur d’un stimulus saute pour ainsi dire d’une personne à l’autre. Le formateur idéal est un collègue faisant autorité qui ressent lui-même l’essence des dangers.

Habituation

L’ennemi principal de la sensibilité au risque est l’habituation. Cela se produit lorsque nous percevons un danger fréquemment. La peur (cloche d’alarme) est alors activée, mais en même temps, un souvenir est stocké que la confrontation avec le danger s’est bien terminée. Plus le nombre de souvenirs positifs est grand, moins la cloche d’alarme est puissante. Un employé bien formé peut donc, avec le temps, réagir moins alertement à la perception d’un danger.

Courbe en forme de baignoire

C’est ainsi que se forme la courbe en forme de baignoire typique. Le risque d’incident est le plus élevé au début des activités en raison d’un manque de sensibilité au risque et d’un manque de compétences pour gérer ces risques. Ensuite, on entre dans une période relativement sûre. Cela est à nouveau perturbé après un certain temps par une habituation excessive aux risques associés à l’exécution. La meilleure solution est alors de changer de travail ou de travailler dans un autre environnement. Ainsi, la rotation des postes contribue à un travail plus sûr.

Compréhension du risque

Voici les éléments clés de la sensibilité au risque. Le prochain message traitera de la troisième manière dont nous apprenons à gérer les risques. La compréhension du risque est un produit du cerveau moderne qui traite le langage et la cognition dans notre fonctionnement.

Juni Daalmans

Avril 2019

Cet article a été traduit par Chat GPT.

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